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CATALOGUE MANY ARE CALLED - Walker Evans, James Agee
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MANY ARE CALLED - Walker Evans, James Agee

450,00 €

PREMIÈRE ÉDITION de l'un des ouvrages les plus célèbres d'Evans, avec une introduction de James Agee et plus de 150 reproductions des photographies prises par Evans dans le métro de New York ; édition préférée avec couverture en tissu et jaquette (publiée simultanément en édition brochée).

Dans sa série sur le métro (prise entre 1938 et les années 1940, mais publiée seulement en 1966), Evans cachait un appareil photo Contax sous son manteau pour pouvoir photographier les passagers du métro à leur insu... Les résultats sont remarquablement vivants et sympathiques. Le livre se construit comme une série de photos de films, chaque vie anonyme s'enchaînant avec la suivante. Ces voyageurs sont en grande partie dépourvus de signes ostensibles de classe sociale... unis par la tâche fastidieuse de creuser sous terre comme des taupes. Et pourtant, à y regarder de plus près, le ton du livre semble plus positif. Il parle moins d'une population fatiguée par les vicissitudes de la vie urbaine que de la façon dont les gens se replient simplement sur eux-mêmes pendant le trajet entre leur travail et leur domicile. Les passagers du métro d'Evans sont peut-être des âmes perdues, mais ce sont aussi des âmes perdues dans leurs pensées » (Parr/Badger, The Photobook, I.253). Roth 180 ; Hasselblad 218.

Publié par Houghton Mifflin Company, 1966

178 pages

24,8 × 20,3 cm

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PREMIÈRE ÉDITION de l'un des ouvrages les plus célèbres d'Evans, avec une introduction de James Agee et plus de 150 reproductions des photographies prises par Evans dans le métro de New York ; édition préférée avec couverture en tissu et jaquette (publiée simultanément en édition brochée).

Dans sa série sur le métro (prise entre 1938 et les années 1940, mais publiée seulement en 1966), Evans cachait un appareil photo Contax sous son manteau pour pouvoir photographier les passagers du métro à leur insu... Les résultats sont remarquablement vivants et sympathiques. Le livre se construit comme une série de photos de films, chaque vie anonyme s'enchaînant avec la suivante. Ces voyageurs sont en grande partie dépourvus de signes ostensibles de classe sociale... unis par la tâche fastidieuse de creuser sous terre comme des taupes. Et pourtant, à y regarder de plus près, le ton du livre semble plus positif. Il parle moins d'une population fatiguée par les vicissitudes de la vie urbaine que de la façon dont les gens se replient simplement sur eux-mêmes pendant le trajet entre leur travail et leur domicile. Les passagers du métro d'Evans sont peut-être des âmes perdues, mais ce sont aussi des âmes perdues dans leurs pensées » (Parr/Badger, The Photobook, I.253). Roth 180 ; Hasselblad 218.

Publié par Houghton Mifflin Company, 1966

178 pages

24,8 × 20,3 cm

PREMIÈRE ÉDITION de l'un des ouvrages les plus célèbres d'Evans, avec une introduction de James Agee et plus de 150 reproductions des photographies prises par Evans dans le métro de New York ; édition préférée avec couverture en tissu et jaquette (publiée simultanément en édition brochée).

Dans sa série sur le métro (prise entre 1938 et les années 1940, mais publiée seulement en 1966), Evans cachait un appareil photo Contax sous son manteau pour pouvoir photographier les passagers du métro à leur insu... Les résultats sont remarquablement vivants et sympathiques. Le livre se construit comme une série de photos de films, chaque vie anonyme s'enchaînant avec la suivante. Ces voyageurs sont en grande partie dépourvus de signes ostensibles de classe sociale... unis par la tâche fastidieuse de creuser sous terre comme des taupes. Et pourtant, à y regarder de plus près, le ton du livre semble plus positif. Il parle moins d'une population fatiguée par les vicissitudes de la vie urbaine que de la façon dont les gens se replient simplement sur eux-mêmes pendant le trajet entre leur travail et leur domicile. Les passagers du métro d'Evans sont peut-être des âmes perdues, mais ce sont aussi des âmes perdues dans leurs pensées » (Parr/Badger, The Photobook, I.253). Roth 180 ; Hasselblad 218.

Publié par Houghton Mifflin Company, 1966

178 pages

24,8 × 20,3 cm

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